Créé par des Cadres pour les Cadres de la DGFiP.

La CGC-DGFiP s’est créé le 10 décembre 2010 par fusion du SNCT-CGC et de la CGC-Impôts.
Le SNCT-CGC avait été créé par transformation en syndicat d’une association de comptables publics. En effet, il était déjà apparu aux fondateurs la limite des pouvoirs associatifs et la nécessité de faire entendre la voix des cadres face aux mutations de la profession de comptable public et des autres cadres A du Trésor Public.
Le Syndicat National des Cadres de la DGI (CGC-Impôts) avait été créé en 1957 par des agents souhaitant (déjà) une modernisation du syndicalisme et un strict apolitisme. Le grand principe de notre syndicalisme c’est la liberté. Chacun apporte sa contribution à l’action et au développement de la CGC-Impôts qui informe et agit pour la défense de l’encadrement contre tout sectarisme, en totale indépendance politique ou idéologique.

L’adhésion à la CGC est apparue évidente en raison de son indépendance politique et de sa spécificité de défense de l’encadrement.

En adhérant à l’une des cinq centrales syndicales représentatives, le SNCT-CGC et la CGC-Impôts étaient donc représentés dans les grandes instances nationales de concertation, négociations salariales, Conseil Supérieur de la Fonction Publique, Conseil Economique et Social, mais aussi internationales, par le biais de la Confédération européenne des Cadres et de la Confédération internationale des fonctionnaires.

Des avancées pour les Cadres

S’opposant à toutes mesures de nivellement de la hiérarchie qui ont été multipliées depuis plusieurs années, le SNCT-CGC et la CGC-Impôts, avec l’Union Fédérale des Cadres de la Fonction Publique-CGC, a dénoncé dès 1972 la « fosse aux cadres « . Attaché à la reconnaissance des initiatives et des responsabilités et dénonçant la démagogie égalitariste, le SNCT-CGC et la CGC-Impôts combattent pour la prise en compte de la spécifité de l’encadrement, pour que les cadres soient réellement valorisés et associés à l’élaboration des réformes qu’ils sont chargés d’appliquer.

Un avenir pour les cadres de la DGFiP

 » Vaincre les fatalités pour forger son avenir » (Saint-Exupéry).
La société est en pleine mutation et le rôle de l’Etat est au centre de cette évolution marquée par le poids des contraintes internationales, la place prépondérante du financier qui prend le pas sur le social… Dans cette construction, l’encadrement doit apporter sa contribution en préférant la concertation à la contestation, la participation à l’opposition systématique. Dans cette réforme de l’Etat, celle de la DGFiP est essentielle. Les cadres de la DGFiP doivent y être associés et le réseau de la DGFiP doit être l’un des moteurs de l’aménagement du territoire. Indépendants par rapport aux influences politiciennes, les cadres de la DGFiP et l’Etat doivent être au service des citoyens et des élus, garants de la neutralité et de l’égalité des accès aux Services de la DGFiP.

Présent pour vous dans les instances paritaires

De votre vote, aux CAP dépend l’efficacité de notre action syndicale. Si les CAP concernent votre situation personnelle, le résultat des votes conditionne également votre représentation dans les comités techniques paritaires locaux et centraux. Nos élus sont présents dans les CAP n°1 – CSFN – Directeurs départementaux – CH – Directeurs divisionnaires – CAP n°2 – IDEP et IP – CAP N°3 (TP-TP1) . Donnez les moyens à une organisation indépendante de cadres de vous représenter dans toutes les CAP du cadre A :