Le jour d’après … le 22 mars 2018 : le temps est venu de défendre l’avenir de notre administration

 

 

 

 

Il nous apparaît, parallèlement aux discussions tenues dans les fonctions publiques sur Action Publique 2022, qu’à la DGFiP, nos efforts doivent prioritairement porter sur l’enrayement du processus de déconstruction de notre administration.

L’imposant taux de participation au mouvement de grève du 22 mars dernier à la DGFiP doit marquer le signal fort d’une action de mobilisation décisive pour la défense de nos emplois et de nos missions.

Cible favorite des restitutions d’emploi et laboratoire d’expérimentation GRH, usine à restructurer, les personnels des finances publiques en ont trop supporté.

Le moment est crucial, préalablement aux annonces qui vont probablement entériner un rétrécissement important de notre sphère, nous transformant en administration de service « back office » automatisée (mais au service de qui ?).

Une union syndicale DGFiP la plus large possible constitue l’ultime rempart et la dernière opportunité pour infléchir des projets qui s’annoncent lourds de conséquences pour notre avenir professionnel. Différents messages ont été publiés en ce sens mais il incombe de transformer les intentions en réalité concrète.

http://www.scsfip.fr/medias/images/ico32-pdf-1.png CGC – SNC – Le jour d’après le 22 mars 2018